Douglas Gordon utilise la vidéo, le dessin, la sculpture et l’installation. Son travail sur la distorsion du temps et la tension entre des forces contraires rejoignent des interrogations d’Alberto Giacometti sur la condition humaine. Utilisant les spécificités de l’espace domestique occupé par l’Institut, l’artiste imagine un dialogue entre son travail et celui de Giacometti. Il a réalisé pour l’occasion une série d’œuvres présentée en lien avec des sculptures et dessins de celui-ci, méconnues ou encore jamais dévoilés au public.